Ce journal a débuté avec la naissance des Blogs en 2005 pour accompagner les six mois d'aventure en Inde d'où son nom, !ndianeries. Mot inventé dans l'urgence avec un engagement d'un article posté chaque jour sur des ordinateurs locaux, avec des claviers pourris, des temps d'attentes interminables.., d'où des corrections jamais réalisées. J'en implore votre indulgence en lisant "La malle de l'!nde" & les "!ndianeries". Puis, d'autres voyages ont suivi et des humeurs de l'entre deux, et pour finir "Survivre au travail"... la chose la plus formidable qui soit pour les chanceux que nous sommes, à jouir d'une retraite.
Par @line
Voici une pièce ennuyeuse. La mise en scène minimaliste ne m'a pas gêné.
Heureusement malgré les places en fond d'orchestre attribuées aux abonnés Starters(!!!), aussitôt le noir en salle, je me suis déplacée au second rang où cinq places totalement inoccupées m'ont rapprochées de mes amis au 3e rang!
Au moins être aux premières loges du jeu minimaliste des comédiens fut-il une appréciable compensation.
Car si lors de la première heure j'ai réussi à tenir c'est grâce au jeu du comédien -excellent Frédéric Leidgens- qui m'a fascinée dans l'incarnation de la personnalité de Pierre Lane, le mari de la tueuse... en seconde heure et jusqu'à la fin de la représentation, l'interrogatoire de la tueuse interprétée par la talentueuse Sandrine Bonnaire, ne m'a pas empêché de souvent somnoler... car ce texte de Marguerite Duras finit par être plombant! Il a eut raison de moi... j'ai perdu le fil... (ou la tête?) et j'ai bien compris qu'elle ne serait pas retrouvée !!!
Nous étions tous du même avis...
C'est au théâtre de l'Atelier
Place Charles Dulin
75018 Paris
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