Ce journal a débuté avec la naissance des Blogs en 2005 pour accompagner les six mois d'aventure en Inde d'où son nom, !ndianeries. Mot inventé dans l'urgence avec un engagement d'un article posté chaque jour sur des ordinateurs locaux, avec des claviers pourris, des temps d'attentes interminables.., d'où des corrections jamais réalisées. J'en implore votre indulgence en lisant "La malle de l'!nde" & les "!ndianeries". Puis, d'autres voyages ont suivi et des humeurs de l'entre deux, et pour finir "Survivre au travail"... la chose la plus formidable qui soit pour les chanceux que nous sommes, à jouir d'une retraite.
Par @line
ou le concert loupé pour cause d'impossibilité d'acceder faute de transports à la Philarmonie...
On dit souvent que l’essence même de l’écriture mozartienne est opératique. Mais cette fluidité expressive, cette magie du mariage des voix en parfaite alchimie avec la narration, sont le fruit d’un travail intense. C’est ce laboratoire de l’opéra, à la fois envers du décor et maturation esthétique, que révèle Raphaël Pichon - ex-chanteur chef d'orchestre- et ses complices, comme de véritables pygmalions du génie mozartien.
Avant les chefs-d’œuvre que sont la trilogie Da Ponte ou La Flûte enchantée, Mozart a ainsi composé des dizaines d’airs, qui préfigurent ses futurs tubes, mais aussi ébauché des opéras (comme Zaïde qui annonce L’Enlèvement au sérail), à la recherche autant du ton adapté et de la vocalité propice que d’un livret à sa mesure. Viva la libertà !
Airs de concert et scènes extraites d'opéras inachevés
Canons & nocturnes
Distribution :
Pygmalion
Raphaël Pichon, direction
Mari Eriksmoen, soprano
Siobhan Stagg, soprano
Adèle Charvet, mezzo-soprano
Linard Vrielink, ténor
John Chest, baryton
Nahuel Di Pierro, basse
Au
Philarmonique Paris
221 avenue Jean Jaurès
75019 Paris
Grayscale © 2014 - Hébergé par Overblog