Ce journal a débuté avec la naissance des Blogs en 2005 pour accompagner les six mois d'aventure en Inde d'où son nom, !ndianeries. Mot inventé dans l'urgence avec un engagement d'un article posté chaque jour sur des ordinateurs locaux, avec des claviers pourris, des temps d'attentes interminables.., d'où des corrections jamais réalisées. J'en implore votre indulgence en lisant "La malle de l'!nde" & les "!ndianeries". Puis, d'autres voyages ont suivi et des humeurs de l'entre deux, et pour finir "Survivre au travail"... la chose la plus formidable qui soit pour les chanceux que nous sommes, à jouir d'une retraite.
Par @line
Arrivée à Nice en fanfare. Quel accueil ! Certes, je ne suis pas revenue de puis l'avant COVID, bien que ce fusse un projet alors. Les mois puis les années sont passées. Un total de cinq. Rien a changé ici : les somptueux hôtels, les palais à flanc de colline, les magnifiques villas… je me suis promenée en ville aussitôt descendue du train, mon petit sac à dos déposé à l'appartement du quartier des musiciens, et j'ai traversé la ville. Le nez en l'air. M'extasiant à chaque moment de l’architecture Belle Époque caractérisée par son faste et le mélange de styles empruntés à d’autres courants. Les symbole de joie et d’opulence marquent profondément les façades des bâtiments de cette belle ville Niçoise.
Dans l'une de mes promenades pédestres quotidienne, j'ai découvert non loin de la rue d'Italie en me dirigeant vers les hauteurs du boulevard Cimiez une petite place circulaire investie par une oeuvre de Ben, l'artiste niçois décédé il y a une huitaine, dont j'ai suivi l'évolution depuis la fin des années soixante-dix... Une figure emblématique de l'art contemporain.
J'ai photographié des portes, des bouts d'immeubles au gré de mes flâneries. Je les partage avec vous avec une spéciale dédicace à Jean-Marc qui se reconnaîtra.
La lumière de la côte d'azur en cette saison reste encore douce, la température carrés santé et j'ai pris mon premier bain de mer 2024 dans une eau bleue bordée d'écume blanche tellement vive que j'y ai retrouvé un instant mes joies enfantines, de jeux avec les vagues dont la force vous renversé faute de stabilité sur les galets !
La fois prochaine, j'aurai comme tout le monde les pieds chaussés afin de combattre en équité !
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