Ce journal a débuté avec la naissance des Blogs en 2005 pour accompagner les six mois d'aventure en Inde d'où son nom, !ndianeries. Mot inventé dans l'urgence avec un engagement d'un article posté chaque jour sur des ordinateurs locaux, avec des claviers pourris, des temps d'attentes interminables.., d'où des corrections jamais réalisées. J'en implore votre indulgence en lisant "La malle de l'!nde" & les "!ndianeries". Puis, d'autres voyages ont suivi et des humeurs de l'entre deux, et pour finir "Survivre au travail"... la chose la plus formidable qui soit pour les chanceux que nous sommes, à jouir d'une retraite.
Par Aline & Jean-Luc
Aujourd'hui 1ere visite 'touristique" : le site d'Ellora a 26 km d'Aurangabad, qui comprend mausolees, temples, et monasteres datant du 5eme au 11eme siecle apres JC, boudhistes et jains. Cet ensemble contrairement a Ajanta a toujours ete un lieu de pelerinage connu sous le nom de Verul.
Sur les 32 grottes alignees, fortement endommagees, nous avons jette notre devolu sur la numero 16, monolythique, impressionnante la plus conservee. Elle rengorge de scuptures monumentales d'animaux mythologiques, d'elephants, de tigres, de fresques representant guerres, amours, histoires diverses, de rois et reines, de leurs relations avec les divinites...
Au centre de cette grotte, dans le temple il deumeure un fragment de peinture rupestre -aujourd'hui totalement disparues partout ailleurs- au plafond devant la salle abritant le Stuppa : une bande d'environ 2,50m sur 0,70 temoignage fragile et emouvant des magnifiques couleurs naturelles.
Les touristes occidentaux presses jettent un oeil a cet ensemble plonge dans une demie penombre, et poursuivent leur visite apres au mieux de queques explications sommaires de leurs guides. Les indiens, plus nombreux a visiter Ellora, s'attardent a peine plus, notamment pour laisser quelque offrande (fleurs ou menue monnaie)...
Reperee dans mon costume d'indienne munie de mon numerique par le gardien de ce lieu sacre (qui veillait a ce que l'on n'omette pas de se dechausser), ce dernier m'entrepris afin de me montrer quelques sculptures erotiques. A la lumiere de sa torche balladeuse, pendant pres de 35 mn nous avons photographie ; j'avais evidement appele Jean-Luc, qui trop heureux de disposer la d'un reservoir d'images susceptibles d'accroitre sa collection de petites erotiques sur papier nepalais, a gratifie le brave homme surpris, comme s'il eut ete un riche americain.
Ainsi pris fin cette visite guidee fortuite pour nonchalants curieux.
Pour les photos : il nous faut trouver un ordinateur XP et non version professionnelle 2000 (equipement local). La nous pourrons effectivement decharger nos images sans driver, tel qu'eprouve precedement.
Nous avons rencontre un photographe local dont je parlerai prochainement. Grace a lui nous avons au moins mis sur CD les images... Donc c'est pour bientot.
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