La spécialité de l'île sont les huîtres sous toutes sortes de forme, mais chaudes ; les restaurant voys en propose un peu partout et de petites bicoques pour 400Y les 3 ou 500Y les 4, les vendent en bordure de chemin. Elles sont géantes et savoureuses grillées. Il suffit de rajouter du vinaigre, ou de la sauce soja... Et voilà coment j'ai rencontré sur un banc, un japonais en voyage autour de trois huîtres à côté d'un superbe temple, que nous avons visité ensemble avant qu'il ne reprenne route. A cet endroit là je me suis trouvée au calme un espace de vue sur mer intérieure, entre arbres et chants d'oiseaux pour méditer, puis pratiquer mon Qiqong en toute sérénité.
Quel doux moment!
C'est ce soir là où j'ai poussé Gic dans ce délicieux restaurant à goûter deux variétés d'huîtres chaudes. Il m'en parle encore et ne s'en est pas remis. Il en réclame, et VEUT en remanger quelque part!
D'ailleurs, il veut que nous refassions un repas gastronomique à Kyoto, et un à Tokyo... J'ai mes adresses, mais il n'est pas sûr que sans réservations... Bon, nous verrons bien!
Hier soir, et depuis deux soirs, nous fêtons en buvant chacun notre bouteille de Saké chaud, la carte mémoire photo retrouvée de Gic.
Il avait perdu au cimetière de Koyasan disait il sa sacoche photo avec un cable, et surtout la carte mémoire qu il venait de changer sur son apoareil photo : la moitié du voyage en photos envolés!
J'ai parié sur des japonais qui le retrouveraient et le lui rendraient. Il a fait la montée au cimetière une 3 ème fous e jor là pour questionner aux endroits où il s'était rendu. En vain. Le petit office de tourisme d'à côté n'avait rien vu se remettre...
Avant de partir, nous avons fait un stop sur de chemin de la gare. Son sac l'y attendait, rapporté par un groupe d'écoliers!
Sacrée niponerie!